À propos

 

 

La compagnie Nyash* c’est…

18 ans de compagnie, un désir intact de poursuivre et d’intensifier les liens vers notre public, de nourrir nos complicités artistiques et en réinventer d’autres …

* Nyash signifie un mouvement de propulsion du bassin vers l’avant dans un mouvement sauté et en spirale.

La spirale, la vrille, dans son mouvement, nous offre un rythme particulier et nous ouvre le regard sur le passé tout en emmenant vers l’avant.

 

 

 

 

 

 

La compagnie fût créée en 2006 sous l’impulsion de Caroline Cornélis avec comme projet d’amener la danse contemporaine au jeune public. Son matériel chorégraphique se nourrit de la vision du monde de l’enfant, du jeune, de leur nature si singulière. Ça se traduit par un corps investi, engagé et poétique, partant du réel, d’éléments concrets pour sensibiliser notre public cible au langage du corps, au langage de la danse qui est encore, pour la plupart aussi le leur.  C’est un projet ambitieux qui passe par une réinvention des formes au contact de l’enfant et de son univers. 

Des relations artistiques fortes et de confiance se sont tissées, au fil des créations, avec différents artistes de la FWB (Fédération Wallonie- Bruxelles): 
       Frédéric Vannes (créateur lumières et directeur technique), Anne Mortiaux (plasticienne et scénographe), Marielle Morales (chorégraphe et pédagogue), Claire Goldfarb (musicienne et compositrice), Miko Shimura (danseuse et enseignante). Cette complicité renforce et permet de creuser en profondeur les nouveaux enjeux de la création et du projet de la compagnie dans sa globalité. 
 

Aujourd’hui, il y a cette envie de laisser le « je » pour le « nous », de rêver d’un futur où l’on peut profiter de l’assise doucement mise en place ! De s’appuyer sur les bases acquises patiemment pour nous ouvrir davantage à une conscience plus sociétale. Nous sommes animé.e.s par un désir d’élargir, d’ouvrir, de goûter à la liberté et l’audace.

La création chorégraphique est la colonne vertébrale de la compagnie et représente le point de départ de bien d’autres projets.
Comme le travail de médiation, pensé au départ même de la création en tant que vecteur de la rencontre entre notre vocabulaire artistique et notre public.

Ces rencontres sont pour l’équipe une source inaltérable de justesse de rapports, de tons, de manières d’éprouver la réalité du public visé.