Première le 4 Décembre 2024 au festival International Jeune Public, Turbulences, au Théâtre de Namur.
Dès 11+ ans
Distribution
Création collective
Chorégraphie :
CAROLINE CORNÉLIS
Ecriture du mouvement et interprétation:
AGATHE THEVENOT
Ecriture musicale et interprétation:
NICOLAS ALLARD (OLVO)
Accompagnement philosophique et dramaturgique:
GILLES ABEL
Assistanat à la chorégraphie :
COLIN JOLET
Création lumière :
FRÉDÉRIC VANNES
Dramaturgie de l’espace et scénographie :
CLEMENCE THIERY
Construction métal :
HELENE MEYSSIREL
Costumes :
PATTY EGGERICKX
Assistée par :
COLINE PAQUET
Réalisation avec l'aide de :
JEANNE WINTQUIN
Texte poétique :
LAURA VAZQUEZ
Titre:
CHARLOTTE GOSSELIN
Accompagnement en production et développement de projet :
AD LIB · SUPPORT D'ARTISTES
Remerciements:
JULIE BOUGARD, NOA HELL, CLEMENT GARCIA et MAXIME LAMBERT alias NERF NOIR
Une production de la compagnie nyash.
en co production avec CHARLEROI DANSE — CENTRE CHORéGRAPHIQUE DE LA FWB.
Avec l’aide de la fédération wallonie-bruxelles, service de la danse.
Avec le soutien dE LA MAISON QUI CHANTE, LE CENTRE CULTUREL DE NAMUR, LE GRAND STUDIO, éKLA — CENTRE SCénIqUE DE WALLONIE POUR L'ENFANCE ET LA JEUNESSE, LE STUDIO THOR, LA MAISON DE LA CULTURE FAMENNE—ARDENNE, la roseraie.
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L'adolescence, âge des désirs, des doutes et des dilemmes, zone d'incertitudes et de mutations, est célébrée par la compagnie Nyash. Avec pour source d'inspiration le Prélude à l'après-midi d'un faune, au confluent de la poésie, de la musique et de la danse. Du poème de Mallarmé (1876) à la partition de Debussy (1894) puis à la chorégraphie de Nijinsky (1912), Prélude à l'après-midi d'un faune fit date dans chacune de ces disciplines. Un héritage dont s’inspire l’équipe artistique pour cette ode à la puissance de l'adolescence. De quels tourments et interrogations ce faune, mi-animal mi-humain, est-il l'expression ? Quels échos – jaillissements, ivresses, bourgeonnements – trouve-t- il aujourd'hui en nous ?
Quittant la petite enfance, public de la majorité de ses œuvres, la chorégraphe s’aventure dans une première création à destination des adolescent·e·s et pré-adolescent·e·s. Dans une scénographie en camaïeu et un dispositif sonore immersif mâtiné de poésie, déclinant au présent les volutes musicales de Debussy, Je prends feu trop souvent (Faun/ve) explore la dualité et l'animalité qui habitent l'âge âpre des mues et des rugosités. Mais surtout des flamboyantes éclosions.